C'est la présomption de culpabilité au Japon. C'est pour ça, ils ne font plus rien là-bas : ils ne se touchent même plus. Ils se branlent la nouille dans des pots de petit suisse synthétique, devant des mangas, dans des établissements sous vidéo-surveillance, et pis c'est tout.
Bon... Sur ce, moi je me suis bien chié dessus quand j'ai vu un nouveau brasier au port de Beyrouth hier. Je me suis dit que j'aurais ptêt dû fermer ma gueule, au lieu d'ouvrir un sujet comme ça ici. Donc je vous embrasse les copains. En plus, il y a une canicule qui arrive... Le covid aussi...
Prochain sujet finalement : << Oui-Oui quitte le garage dans lequel il travaille, parce que les pneux et le bac à huile de vidange a brûlé. >>
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1) un patron;
2) du CAC40;
3) en GAV;
4) au Japon;
5) Sa boîte le lâche.
6) Il paie une caution;
7) avec interdiction de quitter le Japon...
8) Là, le gars décide de quitter le Japon, dans une caisse de transport de piano. A la place du piano, un W.C., de l'eau et de la nourriture...
9) Il se planque dans un pays, et snobe la Justice française en évoquant un << problème technique >> : son passeport est dans les mains d'une institution dont il n'a pas le contrôle à Beyrouth.
10) Là, a priori, à cause d'un autre problème technique sans lien, il y a un très gros champignon qui souffle tout le port de la capitale, où était stocké le passeport.
Conclusion : Si j'étais ce patron-là, je reprends une caisse à piano, et je retourne clandestinement au Japon, et là-bas, je demande à me faire rembourser la caution et je retourne volontairement dans les geôles nipponnes.
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